Le projet du festival

Commençons par le commencement: Comment le Festival Canap’ a-t-il vu le jour? Je ne pourrais pas vous répondre directement mais je vous donnerai un nom: Mariko, celle qui va nous expliquer tout ça.

J’ai connu Mariko en tant que volontaire lorsqu’elle était encore en service civique au Crij-Bij de la ville de Metz car nous avions un projet jeune en commun. A présent son association l’a engagé pour coordonner le projet qu’elle à elle même pensée, celui du festival.

La première question posée à Mariko concerne sont âge et la réponse ne se fait pas attendre: « Les femmes ne donnent jamais leur âge ». Le reste de l’entretien se poursuivra donc entre intrigue et incertitude quand à sa jeunesse avérée éternelle.

Mariko tout d’abord qu’est-ce qui t’as donné envie de t’engager dans le service civique?

Mariko: En réalité je ne trouvais pas mon bonheur dans les offres de travail présents, il m’est alors venu l’idée de m’engager dans le service civique dans la même optique d’apporter mes ressources dans quelque chose qui me plait. C’est donc au Crij-Bij où qui m’a accepté ma candidature que j’ai eu la surprise de trouver des jeunes qui s’engagent. Loin de tous les stéréotypes apportés aux jeunes j’ai découvert qu’il y avait des jeunes qui savaient excellemment leader leurs projets et ambitions tout comme des adultes.

C’est donc à partir de là que ton idée du Festival Canap’ est venue?

Mariko: Oui tout d’abord le nom du festival à été choisie par les jeunes en service civique de la ville de Metz dans l’idée d’être aussi chaleureux et conviviale que pouvait l’être un canapé. Mon projet qui est ensuite devenu commun à tout ceux qui s’y sont engagés avait pour but de montré ces initiatives jeunes que j’avais pu découvrir précédemment, de montrer aux jeunes qui n’osent pas se lancé dans leur projet qu’il y a des soutiens qui permettent cela de l’accompagnement au financement.

« On est jeunes […] rêveur mais aussi travailleur »

Mariko

Donc le projet était de créer un évènement par des jeunes pour montrer à la jeunesse moselloise qu’il est possible d’entreprendre.

Mariko: Exactement mais pas que. Des élus et acteurs de la citoyenneté étaient également présents. Le but était non seulement de montrer aux jeunes les possibilités qui se présentes à eux mais aussi à prouver aux adultes que les jeunes savaient mettre en œuvre leur idées. Bien entendu, j’ai eu à cœur de faire valoir nos nouveaux outils de travail souvent basé sur les réseaux sociaux en créant une table rondes rassemblant différents blogueurs faisant de cette activité un hobbie voir même un travail.